Le Zambèze était donc le dernier
des 4 grands fleuves d’Afrique sur lequel je n’avais pas encore navigué. Il y
avait d’abord eu le Niger en Afrique de l’Ouest au Mali, Niger et Nigeria, puis
le Nil en Egypte, en Ethiopie (Nil bleu) et au Soudan (Nil blanc) et encore le fleuve
Congo en RDC ; mais le Zambèze restait une énigme. Et ce fut bien agréable
que de se laisser bercer au coucher du soleil en amont des chutes à observer la
rondeur du dos des hippos, le tourniquet de leurs oreilles, et leur étrange dentition découverte par une gueule
grande ouverte.
Il y avait même des éléphants, la chance !
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